Conseils et histoires

Directives « Rues – Chemins – Places 2024 »

Richement illustrées, les directives pour des voies piétonnes adaptées aux handicapés donnent une vue d’ensemble des exigences envers un espace routier et des transports sans obstacles. La deuxième édition mise à jour est parue en 2024.

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Une famille s’adapte au handicap visuel

Mener une bonne vie malgré un handicap visuel – comment est-ce possible ? Les Dürrmüller de Saint-Gall parlent ouvertement de leur vie quotidienne avec le père, qui souffre d’une grave maladie oculaire dégénérative. La première partie de cette mini-série décrit comment la famille a dû s’habituer au handicap visuel.

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Retina Suisse Youth: Un super programme pour entrer dans la vie active

Des conseils et des paroles motivantes, des mesures concrètes et des contacts que l’on soigne activement, tels sont les avantages du programme myAbility Talent.
Nombreux sont ceux qui connaissent ce qui va suivre. Notre handicap de la vue influence d’ores et déjà le choix de notre métier. Et pendant la formation, nous faisons beaucoup d’efforts pour pouvoir suivre.

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Des framboises, des aubergines, du poisson et des épinards !

Une alimentation saine pour les yeux. Dans notre calendrier de l’avent 2023 publié sur Facebook, nous avons présenté des questions et des réponses concernant l’alimentation sous forme de portions appétissantes. Quels sont les nutriments particulièrement bénéfiques pour la rétine et dans quels savoureux aliments se trouvent-ils ? Vous trouverez ci-après un résumé des principaux conseils en matière d’alimentation.

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La carte UTP n’est plus valable. Que faire désormais ?

La carte de légitimation pour les voyageurs aveugles ou malvoyants n’existe désormais plus. Grâce à elle, les personnes handicapées de la vue pouvaient utiliser gratuitement les bus et les trams dans les villes suisses en compagnie d’un accompagnant. Que pouvons-nous faire désormais ? Stephan Hüsler, directeur général de Retina Suisse, dévoile quelques conseils.

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La maladie de Stargardt n’empêche pas de suivre une nouvelle formation, même à 42 ans

J’aimerais vous raconter mon histoire. Après 25 ans d’activité comme cuisinier, j’ai malheureusement dû me rendre à l’évidence que je ne pourrais plus exercer ce merveilleux métier. Pourtant, ce n’était pas que je n’en avais plus envie. La faute en revient à cette compagne qui me suit nuit et jour, appelée maladie de Stargardt, découverte chez moi dans ma jeunesse.

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